Elle ne regrette pas ses propos. Elle regrette que ses propos soient transformés en polémique. Frédérique Vidal, persiste et signe. Elle veut un état des lieux sur l'islamo-gauchisme à l'université. La ministre de l'Enseignement supérieur l'a redit encore ce lundi, malgré l'opposition politique et une tribune demandant sa démission signée par plusieurs centaines d'universitaires. Pourquoi la question est-elle politiquement sensible ? On en parle avec Alexandra Schwartzbrod, directrice adjointe de la rédaction de Libération. Et Christophe Barbier, éditorialiste politique BFMTV.