En l’espace de 18 ans, la banque publique a engagé près d’un milliard d’euros sur le continent africain où, la nouvelle frontière à conquérir davantage, selon son directeur exécutif en charge de l’export, réside dans la connexion «entre les écosystèmes privés» ainsi que dans l’émergence et le renforcement du secteur privé africain. «Nous devons faire des entreprises qui s’adressent à l’Afrique des entreprises africaines», ajoute-t-il.