De récentes analyses ont mis en évidence une nouvelle mutation inquiétante du variant britannique.
Appelée E484K, celle-ci pourrait impacter l’efficacité des vaccins actuellement administrés.
Cette dernière avait été observée pour la première fois en octobre dernier dans le variant sud-africain du coronavirus.
E484K réduirait la capacité de certains anticorps à neutraliser, ou à inactiver, le virus avant qu’il ne pénètre les cellules humaines.
Les échantillons de B.1.1.7 présentant la mutation E484K semblent encore très rares.
Rien ne permet pour l’instant d’affirmer qu’elle décollera au Royaume-Uni.