Fabio Liberti, chercheur à l’IRIS, répond à nos questions :
- Si le président français est apparu comme un euro-convaincu, l’euroscepticisme tchèque ne risque-t-il pas de replonger l’Union dans l’immobilisme ?
- Les difficultés politiques internes au gouvernement tchèque sont-elles dangereuses pour l’UE ?
- Quels sont les objectifs de la présidence tchèque ? Sont-ils réalisables ?