Vendredi dernier, Boris Johnson en personne tirait la sonnette d'alarme en conférence de presse : le variant britannique du coronavirus serait plus mortel que la souche actuelle. Selon une étude, il ferait monter le taux de mortalité de près de 30 %, ce qui se vérifie avec les chiffres du Royaume-Uni. Ajoutez à cela une transmission bien plus rapide, et vous avez un nouveau problème sanitaire à anticiper pour les autorités.