La grande salle est poussiéreuse. Les platines et les lasers dorment depuis le mois de mars. Ici, on se repasse en boucle les belles soirées avec 1000 personnes qui dansent et on essaie de garder les bons souvenirs. Quand on lui montre les images des actions coup de poing de ses confrères, sur des radars dans le sud-est, ce patron de discothèque se dit que tout le secteur va se radicaliser.