Ils arrêtent des voitures et des passants, non pas pour les contrôler mais pour manifester leur colère aux moyens de faux récépissés de contrôle d'identité. Dans leur viseur, les propos d'Emmanuel Macron reconnaissant l'existence de contrôle u faciès. Une accusation infondée pour ces policiers. Ces derniers s'estiment stigmatisés cette dernière semaine.