C'est une décision rare pour une affaire au retentissement exceptionnel : deux policiers écroués et deux autres placés sous contrôle judiciaire.
Les quatre fonctionnaires impliqués ont été mis en examen. Trois d'entre eux auteurs présumés des coups, l'ont été pour «violence volontaire par personne dépositaire de l'autorité publique» et «faux en écriture».
Le quatrième policier, soupçonné d'avoir jeté la grenade lacrymogène dans le studio, a été mis en examen pour violences volontaires sur Michel Zecler, mais aussi sur les 9 jeunes qui se trouvaient dans le sous-sol des locaux.