Marc Trevidic : « dans l'affaire du massacre des sept moines trappistes de Tibhirine, ni la France (de Nicolas Sarkozy puis celle de François Hollande) ni l'Algérie de Bouteflika, du DRS et de l'ANP ne voulaient de moi. Mais les expertises scientifiques et médico-légales des crânes ont changé la donne, malgré les blocages de ma hiérarchie »