Cet établissement fait partie des 250 restaurants routiers à avoir obtenu l’autorisation d’accueillir à nouveau du public à partir du 7 novembre, malgré l’urgence sanitaire. Une exception accordée aux plus gros relais du territoire après des négociations entre les syndicats et le ministère des Transports. « Quand j’ai appris qu’on pouvait rouvrir, je n’ai ressenti que de la joie, confie Corina Caldaras, gérante du restaurant. Ses clients aussi ont ressenti une intense vague de soulagement, après une semaine éprouvante à dîner et se laver dans leur cabine. Car si les stations-service sont restées ouvertes sur les autoroutes, les habitués des routes nationales et des départementales n’avaient plus nulle-part où se détendre et se restaurer au chaud.