C'est par Whatsapp, une plate-forme de messagerie chiffrée que le terroriste et un parent d'élève ont échangé avant le passage à l'acte de l'assaillant.
Cet homme est le père d'une collégienne. Le 8 octobre dernier, il publie une vidéo sur Facebook pour dire sa colère contre l'enseignant qu'il qualifie de «voyou». Dans le message qui accompagne cette séquence, il laisse son numéro de téléphone.
Est-ce alors à ce moment là que les deux hommes entrent en contact ? Le père de famille connaissait-il le projet de son interlocuteur ? Autant de zones d'ombre, que cherchent à éclaircir les enquêteurs.