Lors d’une séance de travail à l’Assemblée nationale sur les conséquences du coronavirus sur la jeunesse jeudi, la vice-présidente de l’UNEF prend la parole. Elle porte un voile, un hijab. Plusieurs députés décident de quitter la salle en signe de protestation. "Il n'y a aucun texte univoque et formel qui obligerait la femme à couvrir ses cheveux", assure le recteur de la mosquée de Bordeaux, Tareq Oubrou.