Un an après les faits, la colère ne passe pas pour Leila N. La jeune femme accuse des agents de la BAC d’avoir tenté de cacher les violences infligées par l’un d’eux en pleine rue. Les faits remontent à août 2019, lorsqu'elle elle avait elle-même appelé la police en raison d’une bagarre dans la rue. Aujourd'hui, elle porte plainte auprès de l'IGPN.