Suite à des tensions dans un quartier populaire de Nîmes, une école primaire a été délocalisée. L’ambiance anxiogène ne permettait plus la tenue des cours dans la sérénité.
La cause : «l'utilisation d'armes de guerre» dans ce quartier gangrené par le trafic de drogue.
«Cette décision, effective depuis le lundi 15 juin, a été prise suite au déclenchement d'une alerte attentat dans l'établissement par le directeur de l'école ayant constaté l'intrusion d'un individu dans la cour de l'établissement», précise la municipalité.