En 2018, plus de 9000 actes de cruauté sur des animaux ont été décomptés, selon une note de la gendarmerie dévoilée mardi. Ce chiffre est en hausse par rapport à l'année 2017. Une personne exerçant des sévices graves et actes de cruauté risque jusqu'à deux ans de prison et 30.000 € d'amende.