Le Défenseur des droits pointe du doigt et met en alerte les difficultés rencontrées par les demandeurs d’asile LGBT+.
Celles-ci sont effectivement contraintes de transmettre des preuves attestant de leur orientation sexuelle.
Cette étude s’appuie sur des entretiens d’avocats, juges, chercheurs, membres d’associations…
Ces entretiens ont alors mis en évidence des “difficultés procédurales” auxquelles sont confrontés les demandeurs d’asile.
Les auteurs de cette étude ont alors transmis des recommandations à l’attention des pouvoirs publics.
L’analyse du récit de vie des demandeurs d’asile est “soumis à la subjectivité de ceux qui traitent la demande.
Le Défenseur des droits a alors annoncé vouloir former davantage aux questions LGBT+ les agents de l’asile.
