Le port de Cassis désert, les rues silencieuses, sans cris d'enfants et les plages sans vacanciers venus profiter du soleil. Du jamais vu dans cette station balnéaire.
Les professionnels du tourisme attendent sceptiques et inquiets le calendrier qui doit leur être présenté fin mai, avec les modalités d'ouvertures des bars et des restaurants. Ils sont sceptiques car Cassis attire 40 % de clientèle étrangère.
Des étrangers qui ne viendront pas cette année. Ils se demandent comment ce tourisme d'extra-proximité, dont parle le gouvernement, va compenser les pertes.