Frédéric Domeck, 54 ans, aurait pu choisir, comme près de 300 habitants de Wuhan, d'être rapatrié en France, fin janvier, avec son épouse chinoise et leur fille de 8 ans. « Mais je n'ai plus de famille là-bas depuis que ma mère m'a suivi pour venir vivre ici en 2012. Ma vie est ici », explique ce professeur de français de 54 ans, originaire de Lyon. Il prend donc son mal en patience depuis le 23 janvier, jour du « lock-down ». Bénévole pour les hôpitaux, il peut utiliser sa voiture. Mardi, il a filmé son trajet pour aller récupérer une livraison de yaourts, sur une autoroute fantôme.
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