1970-01-01
0
Please enable JavaScript to view the
comments powered by Disqus.
Videos similaires
Alain Mabanckou, auteur de "Dictionnaire enjoué des cultures africaines" : "La France était tellement empressée de faire de nous des objets de la culture française, qu'on a oublié que nous avions aussi des âmes et des racines"
Invendus non alimentaires : «Une grande partie part encore à la poubelle», regrette Pierre-Yves Pasquier
"Il serait logique d'aider les ménages les plus pauvres à faire face à leurs dépenses alimentaires," selon Pierre-Yves Cusset de France Stratégie
Impacts des produits phytosanitaires sur la santé humaine et environnementale : Audition de parlementaires européens ; M. Pierre-Marie Aubert, directeur du programme politiques agricoles et alimentaires à l’IDDRI - Mardi 14 novembre 2023
Alain Mabanckou, auteur de "Dictionnaire enjoué des cultures africaines" : "Le #FrancCFA, qui veut dire "franc des colonies françaises d'Afrique", continuait à donner l'impression d'une domination de la France"
Alain Mabanckou, auteur de "Dictionnaire enjoué des cultures africaines" : "J'espère qu'Emmanuel Macron s'attaquera au problème, mais pour l'instant la France a reçu deux présidents doyens des dictatures d'Afrique de l'Ouest. Ça se passe de commentaires"
Alain Mabanckou, auteur de "Dictionnaire enjoué des cultures africaines" : "La vraie question, ce n'est pas le changement de monnaie, c'est la relation incestueuse entre la France et les dictatures africaines, les "régimes bananiers" comme on dit"
Culture : quand le musée de l'Homme s'intéresse à l'évolution des habitudes alimentaires
Alain Mabanckou, auteur de "Dictionnaire enjoué des cultures africaines" : "La génération de Macron doit être une génération qui décortique les problèmes. Parlons-en clairement : quand on reçoit un dictateur, il faut le dire !"
Alain Mabanckou, auteur de "Dictionnaire enjoué des cultures africaines" : "Le #FrancCFA était frappé ici, à Clermont-Ferrand ! Comment vouliez-vous qu'on ait une indépendance, si notre économie restait en quelque sorte entre les mains de la France ?"