Une salle de commande déserte. Tous les écrans éteints et une production retombée à zéro. Dans la nuit de vendredi à samedi, le premier des deux réacteurs de Fessenheim a été définitivement stoppé.
Samedi matin, réveil très douloureux pour les élus locaux. Devant la centrale, ils viennent soutenir les salariés. Ils interpellent aussi Emmanuel Macron sur l’avenir du territoire.