Les dénonciations de harcèlement et d’inconduite sexuelle provoquées par le mouvement #Metoo ont permis de mettre au jour un phénomène d’une ampleur insoupçonnée. Les révélations ont favorisé la naissance d’un dialogue autour du harcèlement sexuel, mais aussi la mise en place d’actions concrètes pour endiguer et prévenir le problème. Mais est-ce bien le cas ?
Sandrine Ricci, sociologue et chargée de cours à l’Institut de recherches et d’études féministes de l’Université du Québec à Montréal, Véronique Hivon, femme politique québécoise, députée de Joliette à l’Assemblée nationale depuis 2008, et Astrid de Villaines journaliste politique française au Huffington Post et auteure de Harcelées, une enquête auprès de 70 femmes de milieux et d’âges variés qui ont vécu une discrimination ou des violences sexistes ou sexuelles (Ed. Plon), en ont débattu le vendredi 25 octobre au Musée des beaux-arts de Montréal.
Une rencontre animée par Isabelle Porter, journaliste au Devoir.