Ces capteurs doivent permettre de détecter et de mesurer d'éventuelles répliques pour identifier la faille à l'origine du séisme. Les données récupérées sont analysées en laboratoire et recoupées avec celles récupérées par d'autres organismes de recherche. Diane Rivet, physicienne adjointe à l'Observatoire de la Côte d'Azur et Anne Deschamps, directrice de recherche émérite au CNRS, expliquent qu'en aucun cas ces capteurs permettent d'anticiper et de prédire une réplique.