Le 26 octobre dernier, un incendie ravageait l'usine Lubrizol à Rouen.
Les habitants de la région s’inquiètent des conséquences de la catastrophe.
Et d’après les résultats des analyses sur neuf mères volontaires, il y aurait bien de quoi s’inquiéter.
Des résidus d’hydrocarbures ont notamment été retrouvés dans le lait maternel et l’urine de ces dernières.
Ces test ont été demandés par une avocate rouennaise, à l'origine de cette démarche.
Elle a contacté l'Agence régionale de santé pour faire des analyses, mais cette dernière ne lui a pas répondu.
Il serait encore impossible d'interpréter ces résultats et devront être comparés à du lait maternel d'avant la catastrophe.
De nouvelles analyses sont prévues durant ce mois de novembre ainsi qu’en fin décembre.