«Je souhaite que ce soit une opération populaire.» C'est par ces mots que le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a présenté la prochaine privatisation de la Française des jeux (FDJ). Avant son entrée en Bourse, les Français sont incités par le gouvernement à acheter des actions de l'entreprise, une possibilité ouverte à partir de ce jeudi 7 novembre. Mais est-ce vraiment intéressant ?