Alors que le mouvement social à la SNCF commence à se résorber, le bras de fer entre le gouvernement et les syndicats, lui, se poursuit. Ils s’opposent notamment autour du « droit de retrait ». Guillaume Pépy brandit de son côté l’arme des sanctions à l’encontre des conducteurs grévistes.
Dès lundi matin la SNCF a mis en demeure certains de ses conducteurs pour les pousser à reprendre le travail au plus vite. De leur coté, les syndicats de cheminots n’en démordent pas : pour eux leur action tient bien du droit de retrait.
A la Justice maintenant de statuer. Des discussions auront lieu dans trois jours avec les syndicats à propos de la sécurité des agents.