Le Premier ministre Edouard Philippe a dénoncé, ce samedi 19 octobre, un «détournement du droit de retrait» exercé par les agents SNCF perturbant la circulation, et une «grève sauvage» à «l'impact inacceptable pour des dizaines et des dizaines de milliers de Français».
«J'ai demandé à la SNCF d'examiner toutes les suites, y compris judiciaires, qui pouvaient être données lorsque des gens ne respectent pas la loi», a déclaré le chef du gouvernement, qui visitait le Centre national des opérations ferroviaires à Paris, avec le PDG de la SNCF Guillaume Pepy et le secrétaire d'Etat aux Transports Jean-Baptiste Djebbari.