Absentéisme récurrent aux heures de prière, changement de tenue vestimentaire, arrêt de l'alcool... L'université de Cergy-Pontoise a reconnu une maladresse après la diffusion d'un message à ses personnels visant à détecter des «signaux faibles de radicalisation».
Le document polémique a depuis été «retiré», a indiqué l'université.