Déjà la cible de plusieurs polémiques (conditions extrêmes, manque d’engouement, mise en danger des athlètes, délire écologique), les championnats du monde d’athlétisme sont aussi parasités par l’affaire Salazar. Le coach américain, qui a eu sous sa coupe le Britannique Mo Farah, a écopé de quatre ans de suspension pour « incitation au dopage ». Doha est éclaboussé, vu que le sulfureux entraîneur a des athlètes de renom au Qatar, où il est d’ailleurs présent mais sans accréditation désormais.