En Auvergne-Rhône-Alpes, un actif sur trois change d’intercommunalité pour aller travailler, notamment dans les quatre métropoles de la région : Lyon, Grenoble, Saint-Étienne et Clermont. Mais aussi les communautés de communes alpines, dans les vallées de la Tarentaise et de la Maurienne. Entre 2006 et 2016, le nombre d’emplois a augmenté plus vite que la population active résidente sur ces territoires. Un dynamisme économique qui attire des actifs venant de l’extérieur et favorise, donc, une hausse des déplacements domicile-travail. Décryptage d’un phénomène en nette augmentation en moins d’une minute.