Pour tenter de mettre fin au conflit meurtrier entre des groupes séparatistes de la minorité anglophone et les forces de sécurité dans l'ouest du Cameroun, le président Paul Biya réitère son offre de "pardon" à ceux qui, du côté des séparatistes armés, "déposent volontairement les armes", mais promet à ceux qui s'y refusent de subir "toute la rigueur de la loi".