C'est une pratique qui perdure, sous couvert de tradition. Le bizutage, délit puni par la loi depuis 1998 est encore largement répandu dans les grandes écoles et les facultés.
Pour lutter contre ce fléau, le comité national contre le bizutage, l'un des rares organismes à venir en aide aux victimes lance cette opération coup de poing.
Les jeunes doivent écrire «STOP» sur leur poing tendu puis le poster sur les réseaux sociaux.
Victime de bizutage, Aurélie a dû renoncer à ses études d'ingénieur. L’étudiante s'est sentie abandonnée par son école.
Beaucoup de plaintes sont déposées, mais peu aboutissent à des condamnations. Plusieurs mesures sont demandées par le comité au gouvernement, comme l'inscription de l'interdiction du bizutage dans le règlement intérieur de tous les établissements.