Les chercheurs ont analysé 22 484 sites pornographiques et constaté que 93 % d’entre eux divulguaient des données à des tiers.
Ce même lorsque leurs visiteurs utilisaient le mode navigation privée de leur navigateur.
Ces données présentent un risque unique et élevé, étant donné que 45 % des URL des sites pour adultes indiquent la nature du contenu.
Elle peuvent par exemple révéler les préférences sexuelles de l'internaute.
Ces risques seraient accrus « pour les populations vulnérables ».
Leur consommation de pornographie pourrait être qualifiée de « contraire à la norme ou à leur vie publique ».