Yonathan Freund, urgentiste à l’hôpital sur les augmentation d'effectifs qu'annonce Martin Hirsch, directeur général de l'AP-HP : "C'est rétroactif ? On a 10 ou 15 ans à rattraper".

2019-06-11 34

Le Pr Yonathan Freund, urgentiste à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière et Candice Lafarge, aide-soignante à l’hôpital Saint-Antoine à Paris, représentante du Collectif Inter Urgences, sont les invités du Grand Entretien de France Inter. Plus d’info : https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien-11-juin-2019

Videos similaires

Yonathan Freund, urgentiste à l’hôpital, sur les annonces de la ministre Agnès Buzyn : "Il reste 500 millions de dettes aux hôpitaux (...) Et cette histoire des 400 urgentistes formés qui arrivent dans deux ans, avant il y en avait avant 500 par an."

Yonathan Freund, urgentiste à l’hôpital Pitié-Salpêtrière : "Les urgences sont le symptôme de l'hôpital public qui va mal (...) Vous avez doublé le nombre de gens qui viennent aux urgences en diminuant le nombre de lits."

Yonathan Freund, urgentiste à l’hôpital, sur les solutions à apporter pour résoudre la crise : "Il faut fluidifier l'aval (...) Ce qui pousse les gens à bout, ce sont les malades graves qui restent sur des brancards pendant des heures."

Trop d'insécurité au camp de M'poko: MSF réduit ses effectifs

"On a diminué les effectifs, les conditions de travail sont insupportables", déplore Rémi Salomon

En Ehpad, "les atteintes aux libertés ne doivent pas être la marge d'ajustement du manque d'effectifs"

.@fredvalletoux, président de la Fédération hospitalière de France : "Cette vague sera pour le système hospitalier beaucoup plus dévastatrice. L’hôpital ne tiendra pas si on ne prend pas des mesures drastiques" #le79inter

Candice Lafarge, aide-soignante, sur les violences à l’hôpital : "On a dépassé la limite de l'entendable". "Je mets ça sur le compte du mauvais accueil qu'on fait aux malades", ajoute le Pr Yonathan Freund.

Des urgentistes de l'Hôpital Lariboisière (Paris) ne sont pas venus travailler pour protester contre leurs conditions de travail. La réaction @AgnesBuzyn, ministre de la Santé : "Ce n'est pas bien, cela entraîne une surcharge de travail pour les autres"

Martin Hirsch : "L'hôpital Cochin n'est pas en sous-effectif"

Web Analytics