Le conseil d'administration de Renault, réuni mercredi pour la deuxième journée consécutive pour étudier la proposition de fusion avec Fiat Chrysler, n'est pas parvenu à prendre une décision en raison du souhait de l'Etat français, de reporter le vote. Le constructeur italo-américain a finalement décidé de retirer son offre de fusion, estimant que « les conditions politiques ne sont actuellement pas réunies en France pour mener à bien un tel rapprochement ».