Essai Renault Clio 1.3 TCe 130 EDC RS Line (2019)

2019-06-04 220

La Clio, c’est le best-seller de Renault. Depuis la 1ère génération apparue en 1990, il s’en est vendu plus de 15 millions et la 4ème génération qui est pourtant apparue en 2012 se vendait toujours très bien l’année dernière puisqu’elle était numéro 1 en France et numéro 2 en Europe. Autant dire que pour Renault, pas question de tout chambouler : cette 5ème génération ressemble à sa devancière. Pourtant, il s’agit bien d’une toute nouvelle voiture, sur une nouvelle plateforme, avec aucune piève de carrosserie commune. Les dimensions sont à peu près les mêmes. L’élément le plus facile pour reconnaître cette nouvelle génération est à l’avant, sur les phares avec cette virgule en forme de C, qui comprend les feux de jour à LED sur les versions hautes, mais qui est quand même là sur les versions inférieures sans les LED. Les motorisations sont également nouvelles : en entrée de gamme, on a un SCe 65, c’est-à-dire un 3 cylindres essence atmosphérique de 65 ch ; on passe ensuite à 75 ch, toujours en atmosphérique, puis à un 1 litre turbo 3 cylindres de 100 ch, un moteur déjà vu sur la Micra, et on finit pour l’instant avec un 1,3 TCe déjà bien connu dans la gamme sur Kadjar, Mégane, Scénic, ici dans une version 130 ch (une version proposée également sur le Duster). Cette dernière est la seule motorisation disponible avec une boîte double embrayage EDC. En finitions, il va y avoir une entrée de gamme Life qui n’est pas disponible tout de suite, qui arrivera en fin d’année, ensuite Zen, ensuite Intens, un milieu de gamme plutôt bien équipé, et en haut de gamme on a 2 « embranchements » : un haut de gamme luxe qui va être Initiale Paris, et un haut de gamme typé sport qui s’appelle RS Line avec des grosses roues et quelques décorations typiquement dynamiques.