Etats et géants du net se mobilisent à Paris contre les contenus terroristes 26 pays et géants d'Internet ont rallié "l'appel de Christchurch" lancé mercredi à l'Elysée contre les contenus en ligne "terroristes et extrémistes violents". En cause, la diffusion en direct sur Facebook Live pendant 17 minutes de l'attaque contre une mosquée en Nouvelle-Zélande. Jacinda Ardern, première ministre néo-zélandaise Les plateformes internet, dont Facebook, WhatsApp, Instagram, Google, YouTube s'engagent à prévenir le téléchargement et la diffusion de ces contenus, y compris par "leur retrait immédiat et permanent". Emmanuel Macron En revanche les Etats-Unis ont annoncé qu'ils ne signeraient pas le texte, au nom de la liberté d'expression, même s'ils en soutenaient les principes.