Vingt-et-un jours après une deuxième arrestation surprise, Carlos Ghosn peut espérer sortir de prison : le juge du tribunal de Tokyo a en effet autorisé sa remise en liberté sous caution.
L'ancien patron de Renault-Nissan a déjà versé 4 millions d'euros de caution. Il attend actuellement que les juges statuent sur l'appel du parquet japonais, qui lui refuse sa libération.
Si l'appel du parquet est rejeté, Carlos Ghosn pourra quitter la prison mais à certaines conditions : il devra respecter une assignation à résidence, une interdiction de quitter le Japon ainsi que d'autres conditions destinées à empêcher la destruction de preuves.
