Professeur à l’Université Arcadia de Philadelphie, Sètondji Roland Adjovi est aussi membre du groupe de travail des Nations Unies sur la détention arbitraire, un organe de protection des individus du Conseil des droits de l’homme à Genève que vient de saisir Carlos Ghosn. Il explique à L’Opinion ce que l’ancien PDG de Renault-Nissan, actuellement incarcéré au Japon, peut attendre de cette procédure onusienne.