Après les Gilets jaunes, vient la colère des gilets bleus. Manque de reconnaissance, manque de moyens ou encore d'effectifs. De l'autre côté des barricades, c'est la fatigue des policiers qui se fait sentir. Régis est CRS et a accepté de raconter le quotidien des forces de l'ordre.
Depuis presque 20 ans, il porte avec fierté l’uniforme de CRS. Ces derniers mois pourtant, la fierté a laissé place à une forme de lassitude.
Des horaires contraignants, mais surtout une profession de plus en plus sous tension. Car depuis le début du mouvement des gilets jaunes on compte aussi des blessés du côté des forces de l’ordre.