Un début de fracture commence à émerger entre Gilets jaunes modérés et les autres, plus jusqu’au-boutiste. Bruno Questel réagit : «Ces 3 dernières semaines je suis allé les voir plus d’une dizaine de fois, c’était pas toujours facile, parfois un peu tendu et j’ai mesuré un peu les choses. Il y a du FN chez les Gilets jaunes, de la France insoumise et une grande partie authentique dans l’expression d’un mal-être de la société dans laquelle nous vivons. Les autres sont des militants, certains ont pensé que la révolution citoyenne se profilait… Je les laisse à leurs turpitudes et je préfère m’adresser à celles et ceux qui sont dans la réelle souffrance sociale.». «10 milliards sont mis sur la table pour répondre à cette attente et cette urgence, dit-il encore. Je pense que c’est significatif».
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