A propos des menaces de mort dont il a été l’objet, Bruno Questel affirme : «Dissimulé derrière un clavier, c’est toujours facile de menacer. Mais j’ai aussi reçu des lettres signées, des coups de fil anonymes au domicile, des gens qui sont venus à mon domicile quand je n’étais pas là… Je n’ai pas porté plainte car je pense qu’il faut s’inscrire dans une dynamique toujours positive».
>>> Retrouvez ici l’intégralité de cet entretien.