La pollution générée par les transports représente un véritable problème sanitaire.
Les moteurs sont loin d’être les seuls responsables, puisque la majorité de ces émissions provient des plaquettes de freins.
En raison de leur taille extrêmement réduite (de l’ordre de 10 nm), les particules fines se révèlent particulièrement nocives.
La grande majorité de ces particules est en fait générée par le systèmes de freinage de nos véhicules.
En chauffant, leurs plaquettes de frein rejettent jusqu’à quatre fois plus de particules fines dans l’air que leurs moteurs.
Pour un véhicule léger aux normes actuelles, l’abrasion des plaquettes de frein génère environ 20 mg de particules fines au kilomètre.
C’est « seulement » 5 mg pour le moteur en moyenne.
À l’heure actuelle, des solutions techniques existent avec différents dispositifs.