Et alors que l’Assemblée a voté une nouvelle taxe pour financer le Grand Paris express, quid du ras-le-bol fiscal ? «Il y a un consentement à l’impôt, explique Geoffroy Didier, mais il s’effrite au moment où on a l’impression que l’on subi des injustices. Quand ce sont toujours les mêmes qui galère, qui ont du mal à joindre les deux bouts (…) qui payent, là le consentement à l’impôt s’effrite. S’il y avait un sentiment de justice, le consentement à l’impôt existerait».
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