Les députés ont débattu, jeudi soir, des crédits d'impôt accordés au secteur culturel français. L'occasion de revoir le périmètre de certains d'entre eux, notamment sur le spectacle vivant, qui a souvent bénéficié à des artistes à forte notoriété. Il sera réorienté vers les artistes émergents. L'excellence française dans le secteur des effets spéciaux a été également promue, grâce à un crédit d'impôt passé de 30 à 40%.