Longtemps exclu des bénéficiaires de la "carte du combattant" (ouvrant droit à une pension de retraite) les soldats français appelés en Algérie entre 1962 et 1964, après les accords d'Evian, vont désormais pouvoir bénéficier des mêmes avantages que leurs autres collègues soldats. Un effort d'une trentaine de millions d'euros qui va, en revanche, empêcher la revalorisation des pensions militaires réclamée par des députés de l'opposition.