Concernant certaines zones d’ombre qui subsistent autour du prélèvement à la source, notamment autour des niches fiscales et alors que l’aide aux PME n’est pas concernée, Amélie de Montchalin explique: «On a cherché à regarder là où il y avait le plus de ménages concernés et le plus de volume. Ce qui a été choisi, c’est que ce soit les plus grandes niches fiscales.»