Après cinq jours en mer, les 150 migrants à bord du Diciotti entament leur sixième jour à quai. Ils sont soignés et nourris par des ONG, mais sont toujours interdits de poser le pied sur le sol italien. Malgré la mobilisation citoyenne, le gouvernement transalpin tient tête à L'Union européenne et exige une meilleure répartition des migrants. Le vice-président italien menace de suspendre le paiement de sa contribution au budget européen.