Le gouvernement fait face ce mardi après-midi à deux motions de censure à l'Assemblée en réaction à l'affaire Benalla. Après dix jours de crise autour de l'ex-conseiller d'Emmanuel Macron, et à la veille des vacances parlementaires, Christian Jacob (LR) a pris la parole en premier dans l'hémicycle, pour défendre la motion déposée au nom de LR. La vie est belle à l'Elysée (...) Les sanctions sont factices et imaginaires", a-t-il martelé pour encourager les députés a voté pour sa motion de censure spontanée. Et d'ajouter : "Nous demandons que l'organisation de la sécurité du Président soit désormais définie par la loi ! Il faut en finir avec la confusion des pouvoirs. La Présidence n'est pas au-dessus des lois !".