La présidence peinait jeudi à couper court à la bronca suscitée par une vidéo montrant un collaborateur d'Emmanuel Macron frappant un manifestant le 1er-Mai, qui a déclenché l'ouverture d'une enquête préliminaire pour violences et usurpation de fonction. Le Premier ministre Edouard Philippe s'est exprimé sur le sujet jeudi, lors des questions au Sénat.