Ames obscures 2 - partie 165 - Couloirs et salles en piques, préfiguration de déchaînement avec une gaufrette

2018-06-28 2

Continuant l'avancement lent et criblé d'échecs à Shulva, le jambon réussit à progresser dans le Sanctuaire quand je décide à enfin (au moins partiellement et temporairement) surmonter mon idiotie complète et - donc - tirer des flèches dans les boutons sur les murs qui semblent inaccessibles autrement. Comme résultat, le jambon découvre un escalier dans un couloir, des murs duquel sortent des piques à cause de quelque mécanisme, dont la simplicité est loin de la compréhension de mon cerveau minuscule - je suis récompensé avec un épée droite qui devient un fouet pendant son attaque lourde et puis...je retombe dans la place, de laquelle j’avais choisi à me rendre dans la salle d'insectes-dégradateurs seulement que cette fois, je tourne à gauche au lieu d'à droite...
Devant moi il y a plusieurs salles remplies de piques, encore des chevaliers transparents et immunes au dégâts physiques et des prêtresses sombres sur les étages supérieurs. En panique, je traverse deux compartiments de ce genre, je descends sur un escalier à moitié cassé, je me fais le chemin par plusieurs couloirs en étant tout le temps chassé par les Gardiens de Sanctuaire inépuisables et enfin je rends le jambon brûlé jusqu'à la mort par Inspecteur Thomas de "Meurtres de Milieu d’Été" qui m’envahit comme un bouffon-pyromancien et ne cesse pas à lancer des sorts de chaos.
A la fin, utilisant les paroles "Le Fumerolle ne sera jamais oublié par le jambon en tous cas", je retourne à Tseldora et sans hésiter, je donne l’âme abyssale du chevalier de Nadalia à Ornifex pour recréer la gaufrette de pierre que - je calcule - le jambon peut s'en servir grâce à l'anneau de dextérité.
Après que le jambon apparaît à nouveau à Shulva - déjà avec sa nouvelle arme, il ne reste rien qu'à dire: "Le temps est venu...pour que mes adversaires bouffent cette gaufrette..."...(...)

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